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Dérapages dans le département 18 juges huissiers no-tai-res avo-cats  gendarmes  policiers  sur le reste de la France

La Nouvelle République - CHER - Justice - Publication contestée      L'huissière attaque de la presse
Première réponse de l'ex huissière suite à cette publication (voir) Suite par son avocat Laeticia FAYON-BOULAY ci-dessous - Puis assignation à Paris pour mon "délit de presse" en oubliant les lois sur la presse : Voir

La résistance est en marche. Mme BOULANT Josette, il vous reste à trouver un magistrat pour me faire condamner pour ma publication d'un article de presse qui, à ma connaissance, n'a pas été démenti puisque vous refusez de me communiquer le jugement vous condamnant.
Ce sera l'occasion de faire le procès de la dérive de nos institutions où beaucoup d'associations et de victimes seront invitées à venir.

Ensuite vous demanderez, comme certains députés la censure d'Internet au nom du droit à l'oubli pour cacher au peuple vos malversations passées afin de vous présenter à nouveau aux élections comme certains autres politiques qui gangrènent nos institutions et qui souhaitent que les jeunes français, nouveaux électeurs, ne soient pas informés.

Ensuite vous demanderez comme ces députés à faire brûler les archives des bibliothèques pour qu'elles ne puissent jamais être publiées ? Cela me rappelle le comportement de quelques dictateurs par le passé...

La Révolution française est arrivée par la démocratisation de l'écriture.
Certains tentent de museler Internet, sans succès à ce jour, cette nouvelle Révolution qui arrive par Internet inquiète les magouilleurs en place, car ils étaient parvenus à contrôler les médias par l'argent et leur mise sous tutelle des États.

Le 2 mars 2010, après sa demi-heure de menaces téléphoniques votre avocat n'a visiblement pas compris que les français en ont marre de cette délinquance financière en col blanc qui bénéficie d'une quasi impunité ou avec un culot monstre certains comme vous se présentent aux élections (page 18) en utilisant l'argent volé à des victimes qui sont très souvent acculées au suicide où à la déprime à la suite d'abus de pouvoir. La plupart devrait être jugé devant les assises et non en correctionnelle car ce sont des assassins.
Comme je l'ai annoncé à votre avocat, si la justice avait réellement fait son travail, vous devriez être en prison.

Je peux personnellement citer le cas de Alain Lizeretti qui s'est suicidé à la veille de la retraite après avoir accusé le notaire BAUCHET à Grenoble de complicité dans un détournement d'héritage, mais aussi le cas de Jean Guibert de Biviers (38) qui a fait une leucémie foudroyante après les errements judiciaires lors de sa mise en cause de l'HUISSIER Christian ROBERT de Grenoble, etc. Tous deux croyaient dans les institutions pour faire condamner ces dérives. Les collusions et trafics d'influences du milieu de la justice ont eu un impact incontestable sur leur vie détruite par leur écourement et les rétorsions.
Si on veut régler définitivement le problème des délits financiers qui ruinent notre pays, il faut décréter que retourneront dans les caisses de l'État la totalité des fonds détournés depuis la dernière guerre à la place des amnisties généralisées.
La tentative de cacher ces spoliations organisées du peuple, souvent par des notables truands haut placés, se retrouvent dans le projet de loi sur le droit à l'oubli visant à protéger tous les délinquants financiers qui se sont faits une place dans nos institutions.
Pour que la France retrouve la prospérité : il faut que la doctrine "le crime ne paie pas" se vérifie.
De nos jours tout est fait pour que le crime paie. Nos tribunaux valident par des sanctions dérisoires et refusent la recherche des multiples victimes de ces délits et crimes, c'est donc un véritable encouragement à la délinquance financière.
Par contre, quand il s'agit d'une petite délinquance logée dans un squat appartenant à un franc-maçon (qui détourne des biens depuis la dernière guerre) police et justice retrouvent les complices et receleurs de bouteilles d'alcool volées, les sanctionnent très sévèrement et font ainsi un bel exemple de justice ( voir ) réservée au peuple d'en bas ! ! ! ! ! ! !
Quant à la CNIL, malgré des recommandés, j'attends qu'elle se porte partie civile contre ATER dans l'affaire des 20.000 fichiers volés à la police dont l'audience est au 23 sept. 2010

Ma réponse est ci-dessus et j'attends la convocation du tribunal pour m'expliquer.