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Dérapent dans le département 41 juges huissiers notaires avo- cats    po- li- ci- ers       et  sur le reste de la France    compétent éliminé
Un cas qui me concerne aussi, pourquoi mes ripoux en cause échappent aux poursuites ?
" .... Anonymat pour les policiers ... Dont impossible à d'autres éventuelles victimes des mêmes personnes de faire une action en groupe. Récidive ?" Certains morts ont peu d'importance !

La Nouvelle République Faits divers, justice
http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2017/09/27/Affaire-Angelo-Garand-deux-gendarmes-mis-en-examen-3239728

Loir-et-Cher - Blois, Seur -

Affaire Angelo Garand : deux gendarmes mis en examen 27/09/2017 05:32

Deux gendarmes du GIGN de Tours ont été mis en examen lundi, pour violences volontaires avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner.

Dans le cadre de l'affaire concernant la mort d'Angelo Garand, deux gendarmes de l'antenne du GIGN de Tours ont été mis en examen, ce lundi 25 septembre, pour violences volontaires avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner après avoir été entendus par l'un des juges d'instruction en charge de l'information judiciaire.

Le parquet de Blois avait «  sollicité leur placement sous le statut de témoins assistés  », indique le procureur de la République, Frédéric Chevallier.
Les deux gendarmes ont été laissés libres et ne font pas l'objet d'un contrôle judiciaire.
L'enquête sur les circonstances de la mort d'Angelo Garand se poursuit. Cet homme de 37 ans, membre de la communauté des gens du voyage, père de trois enfants, a été tué, le 30 mars 2017, à Seur , lors de son interpellation par la gendarmerie.
En septembre 2016, à l'issue d'une journée de permission de sortie accordée par la prison de Vivonne (Vienne) où il était détenu, Angelo Garand n'avait pas regagné l'établissement pénitentiaire.
Les recherches menées par les gendarmes dans le cadre de cette évasion avaient permis de le localiser chez ses parents, à Seur. L'antenne du GIGN de Tours avait été sollicitée pour procéder à son interpellation, l'homme étant susceptible d'être armé. Les gendarmes ont indiqué avoir tiré sur Angelo Garand qui se serait précipité vers eux un couteau à la main, malgré avoir reçu une décharge de pistolet à impulsion électrique.
Les proches de la victime, qui se sont constitués partie civile, ont été entendus cet été par le juge d'instruction. Ils contestent la thèse de la légitime défense, privilégiée par le parquet de Blois. Ceux présents au moment des faits affirment qu'il n'y a eu aucune sommation des militaires du GIGN qui auraient tiré aussitôt entrés.
Un rassemblement est organisé par les proches et les soutiens d'Angelo Garand, ce samedi 30 septembre, à 15?h, devant le palais de justice de Blois. La date a été fixée avant que ne soit annoncée la mise en examen des deux gendarmes.

F.V.