Accueil  
Grenoble, Lyon, ici Lilles, Perpignan même réseau d'abus de pouvoir, la quasi-impunité de l'affairisme mafieux de policiers comme
(de 1992 à 2007) CWIKOWSKI Bruno avec son réseau avec des magistrats protecteurs en retraite et en activité... entraînent la multiplication des dérapages ! ! ! Du travail de flics à 20% pour le peuple et à 80% pour les copains truands contre le peuple.
DES JUGES SEMBLERAIENT VOULOIR enfin FAIRE LE NETTOYAGE - Vont-ils toucher aux magistrats et autres notables complices ?
Les sanctions seront-elles dissuasives ?
Les victimes de ces mafieux indemnisées ?

Un responsable de la brigade des stups vole mon courrier,
Un commissaire révoqué me tabasse sur le parvis du palais de justice parce que j'étais partie civile contre lui, alors qu'il était poursuivi pour le vol des fichiers de la police (mais ses associés sont ignorés)
Un policier à la retraite utilise sa carte de la brigade financière pour se faire imprimer tout mon historique fiscal,
Un policier partage les locaux du notaire qui enregistre les actes pour ma spoliation.
Un "videur" au service de promoteurs se vente d'agir avec "la permission de la police" ! (2 -moins)
Un ex flic amant de mon épouse organise mon expulsion et ma spoliation totale en 1998. (Tous associés dans la même société de recouvrement) ...
Des avocats achetés pour entraver les recours, et,
14 ans de galère parce que des magistrats grenoblois, lyonnais, parisiens protègent ces fripouilles malgré toutes les preuves publiées (depuis 2003) visibles en tapant avec Google les cinq lettres RIPOU sur Internet (ou trafic justice)
Si ces juges fouillent bien , ils découvriront qu'ils sont dans les même réseaux que NEYRET - CWIKOWSKI

Dérapent dans le département 59 ju-ges huissiers notaires liquidateur judiciaire avo-cats  gendarmes  po-li-ciers  
et sur le reste de la France  

...  Des chefs de la police tombent ! ! (et les complices ? )


14 octobre 2011 | Mise à jour 13h15 Le Point

Lille : une nouvelle affaire met en cause des policiers
Le Point.fr - Publié le 12/10/2011 à 20:16 - Modifié le 14/10/2011 à 09:33

Une affaire de proxénétisme éclabousse Lille. Le propriétaire du Carlton et un avocat réputé ont été mis en examen. Cinq policiers ont été auditionnés. [ En raison d'un problème technique, il a été écrit jeudi sur notre page d'accueil que les cinq policiers étaient en garde à vue, alors qu'ils n'étaient qu'auditionnés comme il était écrit dans l'article. Nous nous excusons de cette erreur auprès d'eux et de nos lecteurs ]

Lille : une nouvelle affaire met en cause des policiers

Le Carlton de Lille est au centre de ce nouveau dossier. © Philippe Pauchet / La Voix du Nord/Maxppp

Au palais de justice de Lille, le dossier est codé, car jugé ultrasensible. Une cellule spéciale de quatre policiers a été mise en place au sein de la police judiciaire lilloise. Ses précautions ne sont pas de trop, car les faits sont explosifs. C'est une affaire de proxénétisme autour du groupe Politel qui regroupe trois hôtels lillois, dont le Carlton sur la Grand'Place , et qui mouille, outre les dirigeants de ce groupe, un avocat, des entrepreneurs locaux, des proxénètes belges et des policiers, le tout sur fond de réseaux francs-maçons. Une affaire délicate qui fait écho au dossier de Michel Neyret, numéro deux de la PJ , mis en examen et écroué pour corruption, trafic d'influence, association de malfaiteurs, trafic de stupéfiants, détournement de biens et violation de secret professionnel.

Parties fines

L'IGPN a entendu cinq policiers, dont un commissaire divisionnaire. Au centre de cette affaire, un personnage trouble : René Kojfer, chargé des relations publiques au Carlton. Il a été le premier dirigeant de l'hôtel à avoir été mis en examen pour proxénétisme aggravé en bande organisée. Un choc dans le milieu du luxe et de la nuit dans lequel gravitait depuis trente ans cet ancien marchand de vêtements. Ce personnage réputé proche du monde policier (en clair, un indic) est soupçonné d'avoir recruté des prostituées et de les avoir fournies à un proxénète belge, un certain Dominique Alderweireld, dit Dodo, interpellé et écroué en Belgique. Cet ancien proxénète du nord de la France possède une dizaine d'établissements (bars montants) dans lesquels se prostituent 160 hôtesses venues d'Angola, de Madagascar, du Brésil, de France, d'Algérie et d'Irak. Certaines de ces filles pouvaient participer à des parties fines dans les trois hôtels lillois.

Depuis une semaine, les auditions se multiplient devant deux juges d'instruction lillois. Le P-DG du groupe d'hôtels, Hervé Franchois, et un avocat réputé du barreau lillois, Me Emmanuel Riglaire, ont été placés en garde à vue. Le premier a été mis en examen jeudi soir pour proxénétisme aggravé en bande organisée. Il a ensuite été écroué. Le second a aussi été mis en examen jeudi soir dans cette affaire, avant d'être laissé libre. À sa sortie, en s'écroulant dans les bras d'un de ses collaborateurs, il s'est écrié : "Merci d'être là, je vous jure que je ne suis pas un proxénète." Figure du barreau lillois, cet homme d'une quarantaine d'années a notamment plaidé en octobre 2009 devant la cour d'assises du Nord pour la famille du petit Enis, enlevé, séquestré et violé à 5 ans par le pédophile Francis Evrard. Il a également représenté la famille de Natacha Mougel, une joggeuse violée et tuée à Marcq-en-Baroeul en septembre 2010.

Me Emmanuel Riglaire, spécialisé dans la défense de policiers, est soupçonné d'avoir touché une enveloppe de la part de Dodo par l'intermédiaire de René. Il aurait notamment présenté une de ses clientes à René, qui lui-même l'a présentée à Dodo pour qu'elle se prostitue dans les bars de Dodo en Belgique et les hôtels lillois. Depuis l'incarcération de René et de Dodo, d'autres dirigeants du groupe Politel ont été mis en examen pour proxénétisme aggravé en bande organisée.

Adjoint de Michel Neyret

Cinq policiers, dont un commissaire divisionnaire, sont aussi dans le collimateur des juges. Notamment un ancien adjoint de Michel Neyret à la brigade de recherche et d'intervention à Lyon, entre 1990 et 1995. Les juges s'intéressent au rôle de ce patron de service et des quatre autres policiers dans le fonctionnement du réseau. Le commissaire divisionnaire aurait notamment co-organisé avec un chef d'entreprise, en garde à vue, une partie fine à laquelle aurait participé un homme politique. Il apparaît dans la procédure qu'un officier de police judiciaire, l'ancien chef des moeurs à Lille, était au courant des activités reprochées aujourd'hui à René Kojfer. Encore une histoire d'indics qui tourne mal.

Par Jean-Michel Décugis

Le Point

Une vidéo résume le scandale


leParisien.fr

Carlton de Lille: l'avocat mis en examen pour proxénétisme (parquet)

Publié le 14.10.2011, 10h52

L'avocat lillois Emmanuel Riglaire a été mis en examen jeudi soir pour "proxénétisme aggravé en bande organisée" et "association de malfaiteurs" et remis en liberté sous contrôle judiciaire dans l'affaire de l'hôtel Carlton de Lille, a précisé vendredi le parquet.
L'avocat n'est frappé par aucune interdiction d'exercer son activité, selon la même source. Ses conseils n'ont pas souhaité s'exprimer vendredi.

Me Riglaire est la quatrième personne à être poursuivie dans cette affaire.
Le propriétaire du Carlton a été mis en examen pour "proxénétisme aggravé en bande organisée" et écroué jeudi. Le directeur-manageur et le chargé des relations publiques de l'hôtel avaient déjà été poursuivis de ce même chef et également placés en détention provisoire la semaine dernière.
Les deux hommes sont notamment soupçonnés d'avoir proposé les services de prostituées au sein de leur hôtel. Ils avaient été interpellés le 4 octobre dans le cadre d'une information judiciaire ouverte en mars par le parquet de Lille pour des faits de proxénétisme aggravé en bande organisée, association de malfaiteurs et blanchiment.
Un chef d'entreprise devait être déféré dans l'après-midi devant les juges d'instruction, selon le parquet de Lille.
Selon des sources proches du dossier, le directeur des relations publiques du Carlton est une personnalité bien connue dans le monde de la nuit lillois "avec beaucoup d'entregent".
"Des liens avec des personnes gérant plusieurs établissements de prostitution et bars en Belgique ont également été mis en évidence" dans le cadre de cette enquête, selon le parquet de Lille.
La police de Courtrai (Belgique) avait interpellé le 1er octobre quatre personnes, qui ont été mises en examen et écrouées pour des faits de proxénétisme. Parmi elles, un chef d'entreprise français, notamment propriétaire de salons de massage en Belgique.
Le parquet de Courtrai avait déjà confirmé l'existence d'"un lien probable" avec l'affaire lilloise, sans vouloir en préciser la nature.

___________________________________________________________________

Accueil

Exclusif Closer.fr : DSK bientôt entendu dans une nouvelle affaire

Dominique Strauss-Kahn

Dominique Strauss-KahnDSK

Tout le monde parle de l'affaire du Carlton de Lille, une affaire qui intéresse particulièrement car y apparaît le nom d'un homme politique de tout premier plan. "Closer" est en mesure de vous révéler son identité.

L'affaire a débuté par l'incarcération en Belgique d'un proxénète français, soupçonné d'avoir mis en place un réseau de prostitution en bande organisée avec l'aide d'un salarié du Carlton. Des gradés de la police, des hommes d'affaires et même un avocat seraient impliqués. Ce réseau aurait eu recours à une centaine de filles.

Dodo, le proxénète présumé, possède une dizaine de bars à hôtesses à la frontière belge. En Belgique, la prostitution est tolérée à condition que les filles soient consentantes et majeures. Or plusieurs hôtesses auraient été mineures à l'époque des faits.
L'intermédiaire du Carlton dort aujourd'hui en prison, son patron a été placé en garde à vue. Un avocat a été mis en examen.

La PJ de Lille a auditionné, à la demande des juges Ausbart et Vignau qui instruisent l'affaire de proxénétisme aggravé en bande organisée, les protagonistes. Et c'est là que serait apparu le nom d'un homme politique français. "Closer" est en mesure de révéler qu'il s'agirait de Dominique Strauss-Kahn.

Les prostituées et les intermédiaires en sexe tarifé auraient en effet évoqué le nom du mari d'Anne Sinclair. Selon une fille du réseau, Dominique Strauss-Kahn aurait profité de ses services.

DSK devrait être entendu prochainement en qualité de témoin sur des faits qui se seraient déroulés en 2010. Le but : déterminer son degré de connaissance du réseau. Comme tout citoyen, Dominique Strauss-Kahn est présumé innocent.

Plus d'infos à venir sur "Closer.fr".
Toute reproduction interdite sans la mention Closer.fr



A Grenoble : Autres activités de ripoux protégés : les SPOLIATIONS de biens (détails de la lettre ci après ICI )




Pourquoi mes ripoux ont-ils échappé aux poursuites ? Trop de notables corrompus ? Appel à témoins 0763 156646