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L'expert Jean René AMOUROUX tente par tous les moyens de forcer ma spoliation telle que prévue par le notaire escroc DESCHAMPS Yves

La partie adverse persiste à tenter de valider les faux : Voir nouvelles conclusions
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Madame RAYMOND précise les conditions de la préparation de son divorce à mon insu (son époux) lors de son audition par M FERNANDEZ Jean-Pierre, sur un procès verbal du 30 octobre 1998 (pièce 104 ou 10T) où elle a fait noter :

" …Depuis fin août je suis en instance de divorce avec mon mari Forney René mais cette situation était restée secrète en attendant la suite des évènements… "

Une déclaration, seulement sept jours avant mon information de l'audience du 10/11/98 devant le juge aux affaires familiales, pour laquelle, je n'ai pas été informé (sans aucun doute à cause du vol de mes courriers - pièce 105 ou 26V4) que seulement trois jours auparavant par mon avocate BESSON-MOLLARD Laurence. Celle-ci devra rendre des comptes devant la justice pour sa connivence avec la partie adverse dont le réseau affairiste CWIKOWSKI.
Monsieur le juge appréciera, là aussi, les méthodes pour entraver le contradictoire.
Pour ces faits déjà exposés au pénal le 26 juin et 19 septembre 2006 (Affaire : 06/00366), mon avocate BESSON-MOLLARD a été déboutée de ses attaques contre mes dénonciations sur Internet.

En fait, en 1998, Madame et son amant préparaient ce divorce depuis plusieurs années.

Le " 0 " franc, sur le compte de mon fils Julien n° 04051831759 mineur au 27/11/1998 (Page du 08/02/2006 de la Caisse d'Épargne annexée p.38 du rapport de l'expert) permet à Monsieur le juge de constater l'effet de ces préparatifs par Madame Janine RAYMOND sur les comptes bancaires du ménage.
Des documents incontestables (pièces 5, 20 et 22) en possession de l'expert prouvent pourtant des dépenses de Madame RAYMOND Janine de 740.000 francs en 6 mois de 2001 ne pouvant provenir que de fonds détournés de la communauté.
La volonté de dissimuler la destination des fonds apparaît aussi avec le débit en espèces de 420.000 francs (pièce 20) soit 64.000 €

Étrangement l'expert ne pose aucune question sur la destination de ces fonds !

Pourtant, toutes les manipulations visaient à jouir pleinement de l'art 1442 du code civil qui indique :

"…l'effet de la dissolution soit reporté à la date où ils ont cessé de cohabiter et de collaborer. Celui auquel incombent à titre principal les torts de la séparation ne peut pas obtenir ce report " (abrogé en 2004)

Mais l'art 1477 du Code Civil qui indique :

" Celui de l'époux qui aurait diverti ou recelé quelques effets de la communauté, est privé de sa portion dans les dits effets "

Doit être pris en compte.

Or, je prouve que ce compte de mon fils avec " 0 franc " a été totalement vidé de 30.000 francs par mon ex-épouse (pièces 113) Les autres comptes bancaires de la communauté ont subi les mêmes manipulations.
C'est pour cacher ces détournements que Madame RAYMOND insiste à plusieurs reprises, pour s'opposer à la vérification des comptes avant et après l'assignation en divorce.
Cela, est clairement re exprimé à l'expert le 8/12/06 et le 12/02/07 par son avocate, Me Martine POIROT, en ces termes :

"… communication des comptes bancaires… à la date d'assignation en divorce "

Dans son ordonnance du 21/12/06 le juge M LEGER Jean Claude n'a pourtant pas imposé cette restriction. Monsieur le juge ne pourra que constater la motivation d'un dol par la partie adverse à vouloir, à tout prix, l'examen des comptes à la date du 27/11/98.

- 4 / 19 - Conclusions du 8 août 2007 de M FORNEY sur la nullité du rapport de l'expert M AMOUROUX (3ème Chambre civile)

Monsieur le juge ne pourra que constater que l'expert a failli à sa mission en oubliant l'examen des comptes bancaires avant et après la date d'assignation en divorce du 27/11/98, alors qu'il a en main les preuves d'énormes débits (supra p 4 et infra p 8)

II c - Nullité pour les mensonges de l'expert Jean René AMOUROUX sur le déroulement des opérations présenté dans son rapport et son absence totale de rigueur.

1 - L'expert AMOUROUX Jean René commence par mentir dés la présentation du déroulement des opérations ainsi à la page 3 ligne 8 de son rapport, il écrit :

" le 7 juillet 2005, nous avons entendu les observations des parties et dressé une liste des pièces à nous communiquer "

Je n'ai pas vu cette liste, ni aucun ordre du jour préparatoire à cette réunion. L'expert m'a rejeté en me répondant :

" Voyez votre avocat pour vos demandes " !

Patrick MARTIN, mon avocat absent (pièce 107 ou 71N) cette première et unique réunion du 7 juillet 2005 (en 16 mois ! ) a été très brève.
L'expert n'a fourni aucune note et a même refusé les pièces que je communiquais (pièce 107 2/2 ou 70N) identiques à mes conclusions et pièces déjà produites le 11 mai 2005 pour le juge Mme BONNIN.
Mon avocat MARTIN Patrick a prétexté son absence par une erreur d'écriture sur son agenda qu'il a confirmée par écrit (pièce 107 ½ ou 71N) et a communiqué mes pièces.

La suite n'a fait que confirmer l'obstruction de cet expert pendant les 16 mois de la rédaction de son pré-rapport en refusant toute réunion en présence des parties, malgré les multiples demandes :

" Il était prévu de faire des réunions avec les parties … en présence de l'expert " Lettre RA à Me PERONNARD-PERROT du 26 décembre 2005
"… nous n'avons encore eu aucun rendez-vous en présence de mon avocate…" Lettre à l'expert R.A. du 22 mars 2006
" Je suis très étonné que sans un seul rendez-vous, pendant près d'un an…je tiens absolument à vous rencontrer…" Lettre à l'expert R.A. du 4 juin 2006
" En un an, nous n'avons eu aucun rendez-vous avec mon avocate…" Lettre à l'expert R.A. du 24 août 2006

Les rendez-vous sur un coin de trottoir pour la visite des biens immobiliers ne saurait être considérés comme des réunions.
L'entrave à la manifestation de la vérité est flagrante !

2- L'expert manque totalement de rigueur dans l'énoncé de la présentation de mes communications de pièces ainsi (page 3 ligne 10) il écrit :

" Par courrier du 8 juillet 2005, Me MARTIN nous communiquait ses pièces"

Ce flou, concernant mes pièces produites, ne permet pas le contrôle des documents pris en compte dans son expertise. Il ressort d'ailleurs de son rapport définitif qu'aucuns n'a été utilisés.
Pourtant les conclusions et pièces communiquées par Maître MARTIN Patrick (pièce 107 ½ ou 71N) étaient numérotées et accompagnées d'un bordereau listant les pièces 1 à 31.
Monsieur le juge peut vérifier puisqu'il s'agissait des mêmes pièces et conclusions communiquées au juge Mme BONNIN le 11 mai 2005.

- 5 / 19 - Conclusions du 8 août 2007 de M FORNEY sur la nullité du rapport de l'expert M AMOUROUX (3ème Chambre civile)

Par contre, l'expert note bien les numéros de pièces communiquées par la partie adverse (page 3 lignes 4 et 11 du rapport)

Pourquoi l'expert ne traite t-il pas de la même manière les deux parties ?

3 - L'expert ignore l'ordonnance du 25 mai 2005 qui précise sa mission :

"…tenir informé aussi souvent que nécessaire les notaires sus désignés ".

L'expert n'a jamais ni informé, ni communiqué avec mon notaire désigné par le juge. L'attestation de Me ESCALLIER le confirme (pièce 100)

Par contre l'expert utilise quasi exclusivement les documents du notaire DESCHAMPS Yves (page 32 du rapport et dires reçu à la réunion - Bordereau du 24 octobre2006) bien que celui-ci ne soit à l'origine d'aucun acte légal immobilier pour la famille FORNEY / RAYMOND

Le 24 octobre 2006, deux mois après la rédaction du pré-rapport en août 2006 quasiment vide, Monsieur le juge remarquera dans le rapport définitif :

O - En citant, dans la même lettre, 3 fois la référence au notaire DESCHAMPS, que la partie adverse a remise à l'expert par la lettre de son avocate Martine POIROT (suivant la page 32 du rapport - lettre du 24/10/06) des pièces par centaines !
O - Que celle-ci demande d'inclure en sa faveur des charges et frais divers très importants, dont des dépenses personnelles et des surfacturations d'huissier et fiscales qu'elle pouvait éviter. !
O - Que celle-ci communique, au moment du rapport définitif, l'essentiel des pièces qu'elle possédait pourtant depuis plusieurs années !
O - Qu'encore une fois ces pièces produites après le pré rapport, pour l'essentiel avec une communication exclusive à l'expert et à son notaire, ne permettent absolument pas le contradictoire et l'impartialité du rapport.

Tout cela est parfaitement volontaire pour éviter tout contradictoire, et, l'expert ne fait rien pour y remédier, et, inclus même cela en catimini dans son rapport définitif en indiquant page 34 simplement la réserve :

" …concernant les impôts locaux nous ne disposons que du récapitulatif, les pièces seraient en possession de Me DESCHAMPS. "

Le but de l'expert est parfaitement démontré :

O - Aider la partie adverse à éviter par tous les moyens l'examen contradictoire
O - Valider le projet DESCHAMPS.

Des pratiques affairistes mafieuses pour une spoliation organisée indignes de notre République.
Le témoignage produit de Mme GARCIN Sylvctte (pièce 103) ne fait que confirmer ces pratiques et d'autres témoignages suivront.

II d - Nullité pour le parti pris évident pour valider des faux. L'expert (page 5 lignes 14 à 17 de son rapport ) écrit :
"Le 4/10/06… après avoir insulté l'Expert, M FORNEY a quitté la réunion… "

Après de multiples vérifications, je confirme que l'expert Jean René AMOUROUX est :

" Corrompu et totalement soumis à un réseau affairiste mafieux "

L'utilisation quasi exclusive des pièces du notaire DESCHAMPS Yves ne fait que confirmer sa compromission avec la partie adverse.

- 6 / 19 - Conclusions du 8 août 2007 de M FORNEY sur la nullité du rapport de l'expert M AMOUROUX (3ème Chambre civile)

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