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Dérapent dans le département 13 : juges huissiers no-tai-res administrateur judiciaire avo-cats   po-li-ciers et  sur le reste de la France
Elle est belle notre République avec tous ses notables qui pillent le peuple comme avant 1789 en étant sûr d'une quasi impunité par la protection des confrères comme dans les cas de TOURS, CHALON, GRENOBLE ...

Bravo à cette juge d'instruction exceptionnelle qui fait son travail contre des puissants en relation avec son milieu du droit. Trop souvent des juges véritables ordures de nos institutions font jeter en prison ceux qui publient cet affairisme crapuleux avec pour consignes au milieu carcéral des actes de torture ou de suicides aidés en isolement
Un début de justice pour le détournement d'héritage de J. P. Helle membre de memejusticepourtous.org où (désigné par le président du tribunal de commerce de Nice Fabien Paul) est impliqué cet administrateur judiciaire Jean-Michel Jillibert écroué dans cette autre affaire (Articles ci-dessous)

Ces dérives crapuleuses perdurent depuis des décennies :
https://www.youtube.com/watch? v=XYwItlDa_Gw&feature=youtu.be

Source : http://www.laprovence.com/article/actualites/3616571/affaire-bernes-quatre-suspects-mis-en-examen.html

Affaire Bernès : quatre suspects mis en examen

Actualités Faits divers - Justice Samedi 10/10/2015 à 09H03 - mis à jour le Samedi 10/10/2015 à 11H59 

Ils sont poursuivis pour "tentative d'extorsion" sur l'agent de joueurs. Un administrateur judiciaire écroué

Faits divers - Justice - Actualités - Affaire Bernès : quatre suspects mis en examen Un gardé à vue a été laissé libre mais cinq suspects ont été déférés à la juge Perrin.
PHOTO PATRICK NOSETTO

C'est après 96 heures de garde à vue dans les locaux de la Police judiciaire que 4 suspects, sur 7 gardés à vue, ont été déférés devant la juge d'instruction Isabelle Perrin hier. Un vendeur en concession BMW avait été laissé libre dès jeudi, tout comme un jeune homme d'une trentaine d'années hier, alors que son père, victime d'un malaise au début de la garde à vue, a été interrogé à l'hôpital mais pas déféré.

Restait donc à la magistrate à hiérarchiser les responsabilités de cette présumée "bande organisée" qui se serait rendue coupable, courant 2014, d'une tentative d'extorsion de fonds au préjudice de Jean-Pierre Bernès, ancien directeur sportif de l'OM et actuel agent de joueurs très influent dans le football. Si les faits dénoncés sont assez récents, ils sont liés à une vieille condamnation de l'ex-dirigeant de l'OM : en 1998, la cour d'appel d'Aix rend un arrêt qui le condamne à la prison avec sursis mais surtout à verser l'équivalent de 15 millions d'euros de dommages et intérêts à la société Olympique de Marseille de l'époque.

"Oui, il a demandé à Jean-Pierre Bernès de payer"

"Il s'est rapproché en 2014 de l'ancien administrateur judiciaire et a proposé 300 000 euros !" , expliquait hier soir, Me Lionel Febbraro, l'avocat de son successeur, Michel Gillibert, un professionnel ayant pignon sur rue . "De bonnes âmes se sont immiscées pour aider à la négociation contre rémunération, mais mon client a hérité, quand il a repris le dossier à l'été 2014, de cette situation. Alors oui, il a demandé à Jean-Pierre Bernès de payer, mais c'est son job et il avait la pression de la Caisse des dépôts notamment qui attendait que ce dossier soit enfin réglé !"   Michel Gillibert a été écroué hier soir. 

Dans le cadre de cette affaire, André Cermolacce et Richard Laaban, deux hommes fichés au grand banditisme, ainsi qu'une avocate aixoise ont été placés en garde à vue mardi dernier. Les deux premiers ont donc été mis en examen du même chef que l'administrateur, mais l'avocate est, elle, poursuivie pour "recel de violation du secret professionel".

Hier soir, André Cermolacce, défendu par Me Antoine Versini qui assurait que son client n'a rien à voir dans ce dossier et paye   "simplement le fait d'être proche de Richard Laaban" , a été laissé libre sous contrôle judiciaire. Quant à Richard Laaban, gérant de la toute première boutique de l'OM, son placement en détention était toujours discuté à l'heure où nous mettions sous presse.

Romain Capdepon

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http://www.ledauphine.com/faits-divers/2015/10/16/affaire-bernes-l-administrateur-judiciaire-michel-gillibert-a-ete-ecroue ledauphine.com faits divers

MARSEILLE "Affaire Bernès" : l'administrateur judiciaire Michel Gillibert écroué

Maître Michel Gillibert, ici en 2009 à l'époque où il intervenait dans les Hautes-Alpes.

L'administrateur judiciaire Michel Gillibert, qui a exercé dans les Hautes-Alpes et est installé à Marseille, a été écroué vendredi 9 octobre. La justice le soupçonne d'être impliqué dans une tentative d'extorsion de fonds à l'encontre de Jean-Pierre Bernès, ancien directeur sportif de l'Olympique de Marseille et aujourd'hui agent de joueurs, très influent dans le milieu du football.

Me  Gillibert a été mis en examen pour violation du secret professionnel, tentative d'extorsion en bande organisée et association de malfaiteurs en vue de commettre ces infractions, ainsi que l'a révélé le quotidien La Provence.

Dans une plainte déposée en 2014 et confirmée il y a deux semaines, Jean-Pierre Bernès avait affirmé avoir été contacté par trois hommes venus lui réclamer pour le compte d'un administrateur judiciaire le paiement de plusieurs millions d'euros, dont une partie en liquide.

La somme représentait une part des dommages et intérêts auquel l'ancien directeur général de l'Olympique de Marseille (d'octobre 1990 à juillet 1993, sous les ordres de Bernard Tapie) avait été condamné par la cour d'appel d'Aix-en-Provence, le 9 décembre 1998 dans le cadre du procès dit "des comptes de l'OM1".

Dans cette affaire de malversations autour des transferts de joueurs au préjudice du club, Jean-Pierre Bernès avait été condamné à deux ans de prison avec sursis et 200 000 francs (30 000 euros) d'amende. Il avait été également condamné à verser 73 249 588 francs (près de 11 millions d'euros) à M e  Henri Nespoulous, à l'époque mandataire de la SAOS Olympique de Marseille dont la structure juridique était en cours de transformation.

Après la mort de Me  Nespoulous et le départ à la retraite de son successeur, Me  Michel Gillibert, devenu à son tour administrateur judiciaire de l'Olympique de Marseille, avait cherché à recouvrer ces fonds. Deux autres hommes, fichés au grand banditisme, ont été mis en examen, vendredi dernier, aux mêmes motifs que Me  Gillibert.

Publié le   17/10/2015 à 06:03

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http://www.lemedia05.com/2015/27690/le-gapencais-michel-gillibert-administrateur-judiciaire-ecroue-dans-laffaire-bernes/
Michel Gillibert Marseille OCT 16 2015

Le Gapençais Michel Gillibert, administrateur judiciaire, écroué dans l'affaire Bernès

L'administrateur judiciaire Michel Gillibert, originaire de Gap, où il est intervenu dans de nombreuses procédures collectives ouvertes par le tribunal de commerce durant de longues années, est écroué depuis une semaine. Il est soupçonné d'être impliqué dans une affaire d'extorsion de fonds dénoncée en 2014 par Jean-Pierre Bernès, ancien directeur général de l'Olympique de Marseille. Me Gillibert, désormais installé à Marseille, a été mis en examen pour violation du secret professionnel, tentative d'extorsion en bande organisée et association de malfaiteurs. Deux autres suspects, André Cermolacce et Richard Laaban, tous deux fichés au grand banditisme, ont été mis en examen pour tentative d'extorsion et association de malfaiteurs ; le premier a été placé sous contrôle judiciaire, tandis que le second était incarcéré. Par ailleurs, une avocate aixoise a été mise en examen pour violation du secret professionnel. Ces informations ont été révélées par  La Provence , et reprises ce vendredi par Dici radio.

Dans un plainte déposée fin 2014, Jean-Pierre Bernès avait indiqué avoir été contacté par trois hommes venus lui réclamer pour le compte d'un administrateur judiciaire le paiement de plusieurs millions d'euros, dont une partie en liquide. La somme représentait une part des dommages et intérêts (plus de 11 M€) auxquels il avait été condamné par la cour d'appel d'Aix-en-Provence en 1998 dans le « procès des comptes de l'OM ».

Il se trouve que le mandataire judiciaire de l'OM, Henri Nespoulous, était ensuite décédé et que son successeur est lui-même parti à la retraite. Me Michel Gillibert, devenu à son tour administrateur judiciaire de l'OM, aurait découvert que Jean-Pierre Bernès n'aurait jamais honoré sa condamnation. Selon  La Provence , certaines personnes auraient approché l'ex-directeur général de l'OM en lui proposant un arrangement : une enveloppe en liquide lui aurait permis une large réduction des 11 M€ de dommages et intérêts dus. Jean-Pierre Bernès aurait refusé cet accord.

Cité par  La Provence , Me Lionel Febbraro, l'avocat de Michel Gillibert, estime que ce dernier « a hérité, quand il a repris le dossier à l'été 2014, de cette situation. Alors oui, il a demandé à Jean-Pierre Bernès de payer, mais c'est son job et il avait la pression de la Caisse des dépôts notamment qui attendait que ce dossier soit enfin réglé ! »