Retour à l'accueil      Instruction    Mobiles   80.000 victimes     Europe1sur les fiches des francs-maçons en 4 mn

Conclusions d'appel PARTIE CIVILE contre ripoux, complicités et protections pour étouffer l'affaire des 16.000 données confidentielles volées. Une partie alimentait la francs-maçonnerie.
Pages 1 , 2 , 3 , 4 , 5 , 6 , 7 , 8 , 9 , 10 , 11 , 12 , 13 , 14 , 15 , 16 , 17 , 18
(Remplacées par celles du 19 septembre 2006)

i Des blocages de mon avocat Me TIXIER Gérard

Désigné par Me DREYFUS, pour ma plainte contre BOTTA, lors de notre premier bref rendez-vous, Me TIXIER me dit qu'il va se déclarer incompétent à agir contre un confrère et que le tribunal va faire de même.
Au rendez-vous suivant, il me répond : " je ne vous ai jamais dit ça ! !
Il s'accroche au dossier en m'envoyant des lettres sans entête ni signature qui, disait-il, étaient transmises au juge M FONTAINE Luc. Malgré mon insistance dans son cabinet et quatre lettres recommandées, je ne suis pas parvenu à obtenir ses lettres avec une signature (pièce 32 ou 45B)

Une telle attitude ne peut que confirmer une certaine volonté de verrouiller le dossier, sinon pour quelles raisons ne pas produire les pièces demandées.

Il faut aussi préciser que Monsieur Luc FONTAINE, en présence de Me TIXIER, avait insisté très lourdement dans son cabinet afin que je retire mes plaintes ???

Me NAFIR GOUILLON, prenant la suite, m'a confirmé qu'il n'était pas utile qu'il demande une copie de l'instruction car il n'y avait que mes pièces. Pour mes plaintes contre Me CALAS et BOTTA,
Mme MAS Marie-Laure n'a pas jugé utile de demander à l'épouse le devenir des 420.000,00 fr (pièce 6 ou 60) débités en espèces avant l'audience du 4 juillet 2001. Alors que ces fonds fond partie de la communauté et sont débités de manière suspecte, et, la veille de cette audience.

 Ces graves irrégularités protègent encore une fois ces policiers ripoux qui ont utilisé leurs relations pour me dépouiller de mes biens, cela ne fait aucun doute.

J Des blocages de mon avocat Me COSTA Alban

J'ai eu beaucoup de peine à faire agir cet avocat contre MARGAILLAN Henri, l'associé de CWIKOWSKI pour le vol de mes courriers. Il a d'ailleurs fallu que j'écrive et dépose moi-même mon mémoire en appel (pièce 27 ou 61V).

Pour mon recours en révision, il m'a été impossible d'avoir la certitude que mon dossier comprenait toutes mes pièces.
Mon dossier était tour à tour entre les mains de mon avoué Me POUGNAND en congés puis de mon avocat en congés. Un récolement (inventaire du dossier) m'a été refusé. Mon avocat Me COSTA, l'huissier Me Blanc et Me POUGNAND déclarant que la décision devait venir du confrère.
Mon insistance en recommandé (pièce 33 ou 50P) s'est soldée par le désistement de mon avocat huit jours avant l'audience !

En totale violation de l'article 419 du Nouveau Code de Procédure Civile, l'avocat ne peut se désister avant d'être remplacé par un confrère, lorsque la représentation est obligatoire.

Le 14/11/2004, Maître COSTA, par lettre RA à FREE (hébergeur Internet), a fait fermer mon site identique précédant installé en décembre 2003. Suite à mes protestations FREE a accepté mon site identique aussitôt remis en ligne et attaqué juste après avoir prouvé son efficacité à l'audience dans l'affaire de corruption " CWIKOWSKI " le 16 juin 2005.

Je ne puis que constater la présence et un lien éventuel avec le centre de formation des jeunes avocats où M DOUYSSET est membre du conseil d'administration (pièce 34 ou 62C)

K Bizarrement, une efficacité de mes plaintes contre CWIKOWSKI et ses associés mais pas par l'instruction !

Mes plaintes sont enterrées ou laissées sans réponse. Mes demandes aux procureurs Jacques FAYEN, VUILLEMIN, VIOUT sont restées sans réponse.
Par contre la société des ripoux Centaurées Protections Sécurité à MEYLAN (38240) a été liquidée deux semaines après le dépôt de ma plainte du 2 mai 2003 (pièce 35 ou 9E).
Remontée au Fontanil (38), la société IMPACT a été dissoute (pièce 49-6) le 17 mars 2005, dans l'urgence 3 jours après la présentation de ma lettre d'un corbeau (pièce 36 ou ex13) à M DESFONDS sous les ordres de M JANIN de la police.

Malgré les deux ans fermes, non encore validés en appel, les actes de corruption active de M CWIKOWSKI

Du 28 mars 2006, conclusions en appel partie civile contre CWIKOWSKI -7 / 18 -